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Philippe Raulet |
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Naissance du héros, suivi de l’enfance, p 9 et 10. De son entrée dans la vie active, p 12. Choix de sa vocation : rédacteur d’épitaphes, p 14. Des difficultés morales et matérielles à en vivre, p 15, 16, 17, etc. Amourettes et passion, p 18, 24, 36, etc. Petits métiers sans lendemain, p 22, 32, etc. Travail d’appoint : ouverture d’une cantine, p 37, 41, etc. Rencontre de Mimi Cortège, plus simplement appelée Mim’Cort, p 44. Promenade en amoureux avec elle, p 47. Rencontre du héros et de son commanditaire, qui souhaite exploiter ses dons, p 49. Le héros ouvre son propre bureau de trouvailles en tous genres, p 63 et 66. Tentatives pour rassembler ses multiples activités et recyclage de sa chorale, p 68, 69, etc. Moments très simples avec Mim’Cort, p 70, 92. Le héros s’affranchit de son commanditaire, p 77. La cantine bat son plein, p 74, etc. Les choses vont très bien, p 79, 88, etc., puis dégénèrent, p 95, 106, etc. Où l’on comprend de quoi il retourne, p 107 et 109. Le héros, aidé de Mim’Cort, organise sa fausse mort, p 110 et suite. Début de la seconde existence du héros, reclus dans ses galeries aménagées depuis longtemps à cet effet, p 116. La vie rêvée en dessous p 117 et suite. Le héros décide d’écrire sur les murs son histoire, et les questions qui en découlent, p 122 et suite. La remontée un peu précipitée et fin, p 136.
Tout le monde est là? Allons, pressons! plus une seconde à perdre, ni à gagner sur quoi? mais bon, partir pour partir, allons… Hors de lui comme ce n’est pas envisageable, à se demander comment il faisait pour être un peu lui malgré vous, et pourtant oui, vas-y, ça y est il se lève! si vous pouviez voir son air! On va s’amuser, j’ai idée qu’on va s’amuser. Comment cela, que dit-il, au bas mot?… je n’ai pas entendu, tant pis, quoi qu’il en soit, le Temps courant et lui derrière : de la chair à bougeotte, rien de plus, voyez-vous, et puis?… je ne sais plus après… ah si!… un peu plus loin : «Vous nous remettez ça, patron?»
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