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Alain Cueff |
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La pire chose qui puisse arriver à un paranoïaque, c’est d’avoir raison. «Au début était le lapsus. Alain Cueff dégoupille son roman sur ce qui paraît être un anodin trébuchement de la parole. Pendant une soirée entre amis, le narrateur emploie le mot “nuque” à la place de “garde”. Baisser la nuque plutôt que la garde. (...) À partir de ce modeste faux-pas, démarre l’implacable engrenage de la suspicion sur le terrain miné du discours.»
Boris Senff, 24 heures (Suisse) |
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